Pussy Cat | |
Comme chiens et chats
Les chats noirs et les chats roux tentent d’échapper
aux chiens méchants…. Mais les places sont limitées
dans l’arbre et des branches peuvent craquer. Qui va réussir
à sauver le plus de minous ?
NB : L’auteur aime bien les thèmes animaliers, et nous
met tour à tour à la place de chats (ici-même)
ou de chiens (dans « Une vie de chien »).
Grosse boîte…
La boîte, pas très bien remplie par rapport à
sa taille (mais c’est une habitude tenace des éditeurs)
comporte de quoi construire un arbre à 10 branches sur lequel
les chats vont essayer de grimper. Des cartes permettent d’indiquer
le nombre maximum de chats pouvant tenir sur une branche et 32 cartes
par joueur déterminent les actions à réaliser.
12 jetons représentent des chats noirs, autant pour les chats
roux… 8 jetons oiseaux complètent le matériel.
Les roux ou les noirs ?
Après avoir choisi sa couleur et son côté, chaque
joueur détermine secrètement le poids maximum que
chaque branche (du côté droit ou du côté
gauche) peut supporter.
Ensuite, on tire chacun son tour une carte de sa pile et on accomplit
l’action indiquée (déplacer un chat roux de
six cases, faire tomber un chat noir, poser un oiseau, passer un
tour…).
Si le nombre de chats (ou d’oiseaux) sur une branche dépasse
le nombre prévu par le joueur, la branche s’écrase
et les pauvres chatons se retrouvent en bas de l’arbre, à
la merci des chiens. Une fois leur tas épuisé, les
joueurs battent leurs cartes et la deuxième manche démarre.
Dans cette manche, dès que trois chiens auront apparu, le
jeu s’arrête et seuls les chats disposés dans
l’arbre sont sauvés. Le joueur qui a sauvé le
plus de chats a gagné.
L'avis de Benoît
Ce jeu aux dessins amusants apparaît d’emblée comme un jeu pour enfants… Mais il ne faut pas s’y méprendre : il se révèle assez tactique grâce à la résistance limitée des br
L'avis de Guillaume
Grosse boîte…
La boîte, pas très bien remplie par rapport à
sa taille (mais c’est une habitude tenace des éditeurs)
comporte de quoi construire un arbre à 10 branches sur lequel
les chats vont essayer de grimper. Des cartes permettent d’indiquer
le nombre maximum de chats pouvant tenir sur une branche et 32 cartes
par joueur déterminent les actions à réaliser.
12 jetons représentent des chats noirs, autant pour les chats
roux… 8 jetons oiseaux complètent le matériel.
Les roux ou les noirs ?
Après avoir choisi sa couleur et son côté, chaque
joueur détermine secrètement le poids maximum que
chaque branche (du côté droit ou du côté
gauche) peut supporter.
Ensuite, on tire chacun son tour une carte de sa pile et on accomplit
l’action indiquée (déplacer un chat roux de
six cases, faire tomber un chat noir, poser un oiseau, passer un
tour…).
Si le nombre de chats (ou d’oiseaux) sur une branche dépasse
le nombre prévu par le joueur, la branche s’écrase
et les pauvres chatons se retrouvent en bas de l’arbre, à
la merci des chiens. Une fois leur tas épuisé, les
joueurs battent leurs cartes et la deuxième manche démarre.
Dans cette manche, dès que trois chiens auront apparu, le
jeu s’arrête et seuls les chats disposés dans
l’arbre sont sauvés. Le joueur qui a sauvé le
plus de chats a gagné.
L'avis de Benoît
Ce jeu aux dessins amusants apparaît d’emblée comme un jeu pour enfants… Mais il ne faut pas s’y méprendre : il se révèle assez tactique grâce à la résistance limitée des branches. Pourtant la chance demeure avec l’arrivée impromptue des chiens. C’est un jeu léger et attachant, au thème bien rendu, une fois n’est pas coutume !